vendredi 26 septembre 2008

Bien manger donne l’énergie pour bien vivre au quotidien !

Bien manger donne l’énergie pour travailler être bien dans son corps et de bonne humeur.

Commencez le matin par un petit déjeuner complet : des tartines et un yaourt, ou des céréales avec du lait, et un fruit (frais, en compote ou en jus).

Afin d'éviter une chute de tonus et donc de glycémie vers 11 heures : manger une collation vers 10h30 ou 11h. Pas de barre chocolatée.

Pour déjeuner, à midi évitez les fast food ou encore appelé « junk foods » (pizzas, frites, kebabs, hamburgers...) !

L’idéal serait des protéines, des légumes verts et des féculents.

Goutez vers 16h avec du pain et une garniture protéinée mais surtout ne prenez pas de sodas ni de gâteaux industriels bourrées de graisses et de sucre.

Dinez le soir autour d’un repas équilibré.

Panier de la ménagère ... les prix n'augmentent pas ... les contenus diminuent

On ne parle plus que du pouvoir d’achat, voyons les techniques de l’industrie agro-alimentaire pour nous enfoncer et diminuer le contenu de notre panier...


Les matières premières ayant augmenté, les grandes marques n’hésitent pas afin de conserver leur marge bénéficiaire à nous faire avaler des couleuvres !

Comment ? Comme ils ne peuvent augmenter les prix des articles, on les modifie pour qu’ils coûtent moins chers à produire, tout en se vendant le même prix. Cela passe souvent par la diminution de la quantité du produit, que le consommateur non aguerri ne remarque pas souvent car on ne vérifie pas le grammage du conditionnement à chaque fois.


Autre technique de certaines marques : le changement de recette !
Il s’agit bien de la même marque, du même modèle et du même prix, les ingrédients qu’il contient sont juste des matières premières moins onéreuses. Résultat, vous mangez un produit probablement moins équilibré d’un point de vue nutritionnel, ou moins bon point de vue gustatif, mais au même prix...

mardi 16 septembre 2008

Los Angeles affiche les calories sur les menus

Los Angeles a adopté mercredi un règlement municipal prévoyant l'affichage du nombre de calories sur les menus des grandes chaînes de restaurants, une mesure destinée à lutter contre l'obésité, a-t-on appris auprès de la municipalité de la deuxième ville des Etats-Unis.

Ce règlement, similaire à celui mis en application en juillet à New York, pourrait être rapidement rendu inutile par un projet de loi identique sur le fond et en cours d'adoption par le parlement de l'Etat de Californie.

Ce texte, dit "SB 1420", doit encore être promulgué par le gouverneur Arnold Schwarzenegger, mais ce dernier s'est mis en grève des signatures tant que le budget de l'Etat ne sera pas adopté.

le poisson excellent contre le cancer du côlon

Mangeons du poisson tous les deux jours ! C'est en tout cas ce que les conclusions des résultats de l'étude Epic menée auprès de 500 000 personnes de dix pays européens. Selon celle-ci, ce serait le meilleur moyen de réduire le risque de cancer colorectal.

La diminution serait spectaculaire ! Ceux qui en consomment 80 g par jour voient ce risque réduit de 40 %, par rapport aux personnes qui n'en mangent que 20 g par jour, soit moins d'une fois par semaine. Tandis que les grands consommateurs de viande rouge, abats et charcuterie (160 g par jour) ont un risque augmenté d'un tiers par rapport à ceux qui se contentent de 80 g par semaine.

Mangez équilibré pour entretenir votre cerveau

Si l'effet protecteur d'une alimentation équilibrée est bien établi sur le coeur, le concept est moins connu pour le cerveau. Pourtant, celui-ci à aussi besoin d'être correctement nourri pour faire face à la baisse des fonctions cognitives lié au vieillissement. C'est le message des spécialistes aux Entretiens de Bichat.

"Le cerveau est l'organe qui dépend le plus précisément d'un apport nutritif adéquat", assure le Dr Ferry, gériatre et nutritionniste.

Mais le paradoxe, c'est que le cerveau régule lui-même les apports alimentaires. En fonction de quoi ? Par quel mécanisme ?

D'où l'importance d'être vigilant à l'alimentation des personnes âgées, qui ont tendance à diminuer les quantités ou à éliminer certains aliments.

Faut-il privilégier certaines graisses plutôt que d'autres, favoriser les oméga 3 (poissons gras, huiles de lin, de colza, de noix...) au détriment des oméga 6 (huiles de tournesol, de maïs...)?

"Il faut diminuer les acides gras saturés (graisses d'origine animale, huile de palme...), c'est clair, mais pour le reste, il faut varier les apports", répond le Dr Ferry.

"Tous les nutriments sont utiles voire indispensables au cerveau", ajoute-t-elle, mettant en garde cependant contre le risque de vouloir trop bien faire : "des éléments antioxydants utilisés en trop grande quantité deviennent pro-oxydants".

Certains évoquent la piste du DHA (acide gras polyinsaturé de la famille des oméga 3) chez la personne âgée ?

"Le DHA est très difficile à synthétiser par l'organisme âgé", avertit le Dr Ferry.

Il est présent en bonne quantité (et biodisponible càd assimilable par notre organisme) dans la chair des poissons gras tels que le saumon, le hareng, le maquereau, l'anguille ou la sardine.

lundi 15 septembre 2008

Le régime méditerranéen participe à la prévention des maladies cardiaques, Alzheimer, cancer, ...

suivre le principe du régime méditerranéen signifie avoir moins de risques demaladies chroniques et une mortalité plus faible selon une recherche italienne publiée dans le British Medical Journal.

Le régime méditerranéen inclut beaucoup de fruits et légumes, poisson, huile d'olive et grains entiers et peu de viande et de produit laitier (ndlr : on privilégie les fromages de brebis à la place des fromages de vaches).

Il doit être faible en graisses saturées et élevé en graisses monoinsaturées et en fibres.

Dr. Francesco Sofi et ses collègues de l'université de Florence ont analysé 12 études impliquant au total plus de 1,5 million de participants qui ont été suivis pendant 3 à 18 ans.

Ceux qui adhéraient de plus près au régime avaient moins de risque de souffrir de maladies chroniques.

Ils présentaient une diminution de 9 % de mortalité par maladie cardiovasculaire, 13 % de moins de risque de maladies d'Alzheimer et de maladie de Parkinson et 6 % de moins de risque de cancer.

Dans l'ensemble, leur risque de mortalité prématurée était diminué de 9%.

Bien se brosser les dents est indispensable pour la bonne santé du coeur

Des dents en mauvais état, une hygiène dentaire insuffisante et des gencives qui saignent peuvent mener tout droit à une maladie de coeur, selon les recherches publiées cette semaine à Dublin lors de la réunion de la Société de microbiologie générale.

La maladie de coeur est associée en général à la cigarette, l'obésité et un taux élevé de cholestérol.

Mais le professeur Howard Jenkinson, de l'Université de Bristol, cité par la société de microbiologie, contredit cette idée admise : "peu importe que vous soyez en bonne santé et mince, vous multipliez vos chances d'avoir une maladie cardiaque si vos dents sont en mauvais état".

Comme le rappellent des microbiologistes de l'université de Bristol et du Collège royal des chirurgiens d'Irlande, ne pas se laver régulièrement les dents entraîne un saignement des gencives qui ouvre la porte du corps aux centaines de bactéries -jusqu'à 700- qui peuplent la bouche.

"La bouche est probablement la place la plus sale du corps humain", note le Dr Steve Kerrigan, du Collège des chirurgiens.

Il décrit la suite du processus : les gencives qui saignent permettent aux bactéries d'accéder aux vaisseaux sanguins, où elles vont "coller aux plaquettes" (composants sanguins servant à la coagulation) et causer "une coagulation à l'intérieur des vaisseaux", empêchant partiellement le sang de revenir au coeur et faisant courir le risque d'une attaque cardiaque.

Une autre équipe, menée par le Pr Greg Seymour, de l'Université de Otago Dunedin (Nouvelle Zélande) a étudié aussi le lien particulier entre les bactéries provenant d'une mauvaise hygiène de la bouche et l'athérosclérose (entartrage des artères).

Elle a ciblé ses recherches sur le rôle que pouvaient jouer les "protéines du stress" produites lorsque les cellules sont exposées à un stress quelconque -inflammation, toxines, privation d'oxygène et d'eau...

Le rôle de ces "protéines du stress" est d'aider les autres protéines à se transporter à travers les membranes cellulaires.

Normalement le système immunitaire ne réagit pas aux protéines du stress de l'individu, mais sa réaction à celles provenant de pathogènes, en l'occurence les bactéries de la bouche, entraîne une réaction générale à toutes les protéines du stress.

Alors "les globules blancs peuvent s'accumuler dans les tissus des artères", provoquant une arthérosclérose, explique le Pr Seymour.

vendredi 12 septembre 2008

Les oméga-6 feraient baisser la pression artérielle

La consommation des acides gras oméga-6 présents dans des produits tirés des végétaux, comme l'huile de tournesol, pourrait contribuer à maintenir la pression artérielle basse.

C'est du moins ce que tend à démontrer une étude (Relationship of dietary linoleic acid to blood pressure) menée par des chercheurs japonais et dont les résultats sont publiés dans la revue Hypertension.

L'équipe de la faculté de médecine de Shiga a orienté ses recherches sur près de 4 700 personnes, hommes et femmes, âgées de 40 à 59 ans en Chine, au Japon, en Grande-Bretagne et aux États-Unis. Ils voulaient identifier quels types de lipides étaient susceptibles de pousser la tension artérielle vers le haut.

Les résultats indiquent que les personnes qui consommaient davantage d'oméga-6 présentaient des niveaux de tension artérielle moindres: «Nos résultats confirment que pour diminuer son risque de maladie cardiovasculaire, il est nécessaire d'augmenter sa consommation d'acide gras polyinsaturé végétal et de diminuer sa consommation de graisses saturées d'origine animale», a soutenu le Dr Katsuyuki Miura, responsable de l'étude.

Il est généralement admis que les oméga-3 sont plus bénéfiques pour la santé que les oméga-6.

Ces deux acides gras sont dits essentiels car le corps humain ne peut les produire, mais il en a absolument besoin.

Cette avancée permettrait de lutter plus efficacement contre l'hypertension qui, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), affecterait le quart de la population mondiale.