samedi 10 septembre 2011

manger moins suffit pour maigrir : encore une preuve

Encore une preuve que pour maigrir : manger moins est un des facteur les plus important si pas le plus important.

Il semblerait en effet que manger un repas peu ou moins calorique par jour et qu'ensuite le fait de manger comme de manière relativement libre le reste de la journée suffirait pour maigrir et que ce facteur l'emporterait sur la composition des menus.

Des chercheurs ont d'abord demandé à 17 volontaires des deux sexes de manger autant qu'ils le voulaient et on a mesuré leur prise de calories. Ensuite, durant deux semaines, les participants devaient manger un repas calibré à 200 calories (une barre énergétique) et manger ensuite ils pouvaient manger la quantité qu'ils désiraient au buffet.

Ceci semblerait accréditer la thèse que manger moins suffit pour maigrir


On a remarqué une différence de 245 calories absorbées en moins en moyenne grâce à cette méthode. Cela a donné comme résultat que les participants ont perdu un demi-kilo en deux semaines environ.
Ces résultats font penser intuitivement que si l'on mange moins une fois dans la journée, le corps compense le manque de prise énergétique (total des calories), mais on dirait que non au bout du compte d'après cette étude.

dimanche 4 septembre 2011

L’industrie alimentaire de l’Union européenne va devoir faire le ménage et retirer les allégations mensongères


«Il s'agit de réguler un marché actuellement opaque», a souligné John Dalli, commissaire à la Santé et à la Protection des consommateurs, dont les services ont établi une liste des allégations à interdire.

Cet inventaire aura des répercussions en Suisse, puisque de nombreuses marques ne changent pas les inscriptions pour les produits exportés vers notre pays.

Les promesses du genre «renforce le système immunitaire», «bon pour le cholestérol», «solidifie les os» ou encore «facilite la circulation sanguine» ne pourraient donc être autorisées dorénavant que si leur véracité est démontrée, explique au téléphone Lucia de Luca, porte-parole de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA en anglais).

«Le rejet d'une allégation ne signifie toutefois pas que le produit n'est pas bon, seulement que les promesses figurant sur l'étiquette ne sont pas correctes», a tenu à préciser Mme de Luca.

La liste initiale étudiée par l'EFSA se composait de 3060 étiquettes, mais 300 allégations ont été retirées par l'industrie alimentaire quand les entreprises ont appris que leurs produits allaient être étudiés.

Parmi ces firmes on trouve Danone, leader mondial des produits laitiers frais.

Danone vantait par exemple qu'Activia, un yaourt, «aide à réguler le transit dès quinze jours» ou qu'Actimel «renforcer l'organisme».

Mais, l'année dernière, ces allégations ont progressivement disparu des publicités de la marque, car ces promesses figurant sur les emballages ne pouvaient pas être scientifiquement démontrées.

Au-delà, ils pourront être condamnés à une amende de 375 000 euros pour publicité mensongère.