Le jaune d'oeuf de poules élevées en plein champ pour garder la peau jeune
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/50916.htm
Des scientifiques de la Clinique Universitaire de la Charité viennent de montrer que les oeufs de poules élevées en plein champ peuvent protéger la peau contre le vieillissement et les cancers.
Cette propriété, ils la doivent aux caroténoïdes, pigments orangés retrouvés dans le jaune d'oeuf et deux fois plus représentés chez les poules de plein air que les poules de batterie. Les scientifiques ont quantifié les caroténoïdes dans une centaine d'oeufs avant d'affirmer que ces pigments s'accumulaient davantage dans le jaune d'oeufs de poules ayant eu accès aux pâturages.
L'homme n'est pas capable de synthétiser les caroténoïdes, c'est donc son alimentation qui doit les lui fournir. Ces molécules sont particulièrement importantes puisqu'elles ont un grand pouvoir antioxydant : elles neutralisent les radicaux libres, ces espèces responsables du vieillissement cellulaire et parfois de cancers, notamment de la peau.
Cependant même si les oeufs aident à lutter contre les rides, les chercheurs précisent qu'il ne faut pas en abuser, car à côté des caroténoïdes, ils contiennent également beaucoup de cholestérol.
Pour en savoir plus, contacts :
Prof. Jürgen Lademann - Département de physiologie de la peau, La Charité, Berlin - tél : +49 030 450 518100, fax : +49 030 450 518918 - email : juergen.lademann@charite.de - http://www.charite.de/ch/derm/_klinik/patient/pat_info.htm
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lundi 3 novembre 2008
Le jaune d'oeuf de poules élevées en plein champ pour garder la peau jeune
Publié par
Philippe Reumont Dietitian - Diététicien - Physical therapist - Licencié kinésithérapie http://www.medisport.be
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mardi 15 avril 2008
Découverte d' une bactérie mangeuse de cholestérol
Une bactérie "mangeuse de cholestérol" baptisée Bacteroides dorei Strain D8 a été identifiée par des chercheurs de l'INRA (Institut national de la recherche agronomique).
Ce micro-organisme est capable de rendre le cholestérol non-réabsorbable par l'organisme.Ce phénomène de réduction du taux de cholestérol est connu déjà depuis les années trente. Des bactéries responsables de ce mécanisme avaient d'ailleurs déjà été isolées chez l'animal. Mais c'est la première fois que les scientifiques identifient ce type d'organisme chez l'être humain.
Cette découverte résulte du travail de l'équipe du laboratoire INRA d'Ecologie et Physiologie du système digestif, de Jouy-en-Josas. Cette bactérie "mangeuse de cholestérol" est capable de rendre le cholestérol non-réabsorbable par l'organisme (ndlr : plus précisément par les clés spécifiques de l'enveloppe du foie).
La bactérie "mangeuse de cholestérol" possède la capacité de transformer le cholestérol en coprostanol, laquelle est une substance non-assimilable par l'organisme et éliminée dans les selles. Or les personnes présentant un fort taux de coprostanol dans leurs féces, sont celles qui présentent justement un taux très faible de cholestérol sanguin. Cette découverte suscite de nombreux espoirs en terme de traitement, cependant ne perdons pas de vue qu'il va falloir du temps pour mettre au point un médicament et qu'il se trouve disponible sur le marché.
Le Strain D8 appartient à une famille de bactéries interdites dans l'alimentation. La prochaine étape de recherche consiste donc à identifier son gène "anticholestérol". Catherine Juste, coauteur de l'étude, précise d'ailleurs au journal Le Monde "qu'une fois le gène extrait, il est tout à fait possible de l'implanter sur d'autres bactéries autorisées dans l'alimentation et cultivées à grande échelle".
Ce micro-organisme est capable de rendre le cholestérol non-réabsorbable par l'organisme.Ce phénomène de réduction du taux de cholestérol est connu déjà depuis les années trente. Des bactéries responsables de ce mécanisme avaient d'ailleurs déjà été isolées chez l'animal. Mais c'est la première fois que les scientifiques identifient ce type d'organisme chez l'être humain.
Cette découverte résulte du travail de l'équipe du laboratoire INRA d'Ecologie et Physiologie du système digestif, de Jouy-en-Josas. Cette bactérie "mangeuse de cholestérol" est capable de rendre le cholestérol non-réabsorbable par l'organisme (ndlr : plus précisément par les clés spécifiques de l'enveloppe du foie).
La bactérie "mangeuse de cholestérol" possède la capacité de transformer le cholestérol en coprostanol, laquelle est une substance non-assimilable par l'organisme et éliminée dans les selles. Or les personnes présentant un fort taux de coprostanol dans leurs féces, sont celles qui présentent justement un taux très faible de cholestérol sanguin. Cette découverte suscite de nombreux espoirs en terme de traitement, cependant ne perdons pas de vue qu'il va falloir du temps pour mettre au point un médicament et qu'il se trouve disponible sur le marché.
Le Strain D8 appartient à une famille de bactéries interdites dans l'alimentation. La prochaine étape de recherche consiste donc à identifier son gène "anticholestérol". Catherine Juste, coauteur de l'étude, précise d'ailleurs au journal Le Monde "qu'une fois le gène extrait, il est tout à fait possible de l'implanter sur d'autres bactéries autorisées dans l'alimentation et cultivées à grande échelle".
Pour vous assurer de votre bon équilibre alimentaire quotidien, venez consulter votre coach diététique gratuit en ligne sur www.doxys.be
Sources : Communiqué et photo de l'INRA du 13 mars 2008 Le Monde, édition électronique du 29 mars 2008
Publié par
Philippe Reumont Dietitian - Diététicien - Physical therapist - Licencié kinésithérapie http://www.medisport.be
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